Le long travail d’observation et de relevés, entamé en mars avec Nature en Occitanie et finalisé en mai, est arrivé à son terme.
Il nous permet à présent notamment de faire un état des lieux de la nature du sol sur le terrain par le biais des plantes bioindicatrices que nous avons relevées.
Pour information, chaque plante dite « bioindicatrice » permet de caractériser par la concentration de sa présence sur un lieu de la nature d’un sol.
Par l’observation, nous avons pu dégager 6 zones pour lesquelles la diversité des espèces botaniques présentes se distinguaient.
En consolidant les analyses des espèces relevées sur ces 6 zones, nous avons obtenu la synthèse suivante:
Au vu de ses informations, nous allons ainsi pouvoir « agrader » le sol, c’est à dire, l’amender de sorte de l’améliorer en fonction des espèces végétales que nous déciderons d’implanter lors du Design de la Forêt Comestible.
Lors de nos balades botaniques sur le terrain, nous n’avons pas fait que rencontrer de belles espèces végétales, mais aussi de beaux insectes, tel que la libellule « Agrion de Mercure », espèce protégée qui a élu domicile sur le terrain et que nous intégrons pleinement dans notre projet dont un des principaux objectifs est la préservation et le développement de la biodiversité.
